Mission
Lire, sur le web ou dans des livres, permet de se former (ou s’auto-former) de façon qualitative, et presque gratuite.
En dépit de mes facilités pour les études, j’ai fait le choix de ne passer que trois ans sur les bancs de l’université.
Ma capacité à apprendre m’a permis de développer des connaissances, des savoirs-faire, des savoirs être, qui m’ont amenée à créer mon entreprise, et enseigner la PrestoLecture à des doctorants, des chercheurs, l’adjoint d’un ambassadeur, des juristes, des chefs d’entreprise, des médecins… qui étaient plus diplômés que moi!
Savoir apprendre au travers de ses lectures, y investir peu de temps pour un important retour sur investissement, c’est avoir la possibilité de choisir son destin.
Ce mauvais stress n’est bon ni pour votre santé, ni pour vos performances en matière de lecture.
Libérer un maximum de personnes du stress ou de la surcharge cognitive fait également partie de la mission que je me suis donnée.
Nous avons besoin de nouveaux outils, d’une utilisation différente de notre cerveau pour faire face aux défis de demain.
Je souhaite influencer la manière dont on enseigne à nos enfants.
Lorsque j’étais enfant, j’adorais aller à l’école, et je garde globalement de bons souvenirs autant de ce que j’apprenais en salle de classe qu’en cours de récréation.
Mes parents étaient enseignants, et j’avais probablement inconsciemment reçu les clés pour bien apprendre, et j’avais des facilités.
- J’étais pourtant frustrée de voir que certains de mes camarades, si vifs sur le terrain de foot ou drôles dans nos jeux, devenaient soudainement “bêta” une fois assis dans la salle de classe.
- Je voyais bien qu’ils n’étaient pas bêtes, et en voyant leur confiance en eux s’effriter au fil des années, je me demandais pourquoi on ne leur avait pas tout simplement appris comment on apprend, comment on se concentre, à quoi ça sert… avant de leur farcir le crâne de chiffres, de dates, et de conjugaisons.
- Je me demandais également pourquoi on ne leur proposais jamais d’apprendre autrement, pourquoi on ne valorisait pas une manière d’apprendre plus en phase avec leur personnalité.
- Je ne comprenais pas pourquoi ils étaient toujours sanctionnés, alors qu’à mes yeux, quelques ajustements simples leur auraient permis de mieux réussir.
- Je me voyais déjà, adulte, accompagner des maîtresses dans la mise en place de manières plus efficaces d’enseigner.
Avant d’apprendre à prestolire, je percevais mon inconscient comme un “saboteur”, qui créait d’inconfortables conflits internes.
Certains étaient inconfortables au quotidien (alors que je souhaitais me montrer sous mon meilleur jour face à un garçon séduisant, je devenais nerveuse, un peu stupide, et carrément maladroite.
D’autres semblaient carrément vouloir fair de ma vie un enfer (j’avais parfois tellement peur que ma réussite puisse insécuriser d’autres personnes que dans des situations où je connaissais quelqu’un qui risquait d’être malheureux “à cause de moi” si je réussissais, je finissais toujours, en dépit de ma volonté et de mes efforts conscients, à échouer à quelques mètres du but).
La photolecture m’a d’abord apporté une meilleure vitesse et une bien meilleure qualité de lecture.
A force de l’utiliser, j’ai fini par changer de point de vue sur mon inconscient: j’ai compris qu’il pouvait être un allié puissant dans ma réussite.
J’ai poursuivi la “communication” qu’on instaure avec l’inconscient en photolecture en dehors de mes activités de lecture.
C’est cette alliance, cette communication avec l’inconscient que je souhaite également transmettre.
Le temps est venu pour l’humanité d’apprendre à vivre avec ces parties de nous-même que l’on ne voit pas, que l’on ne peut pas toucher… et qui font pourtant partie intégrante de qui nous sommes.
“N’allez jamais vous coucher sans formuler une requête à votre subconscient”
Thomas Edison
Certaines personnes vivent des conflits internes qui bloquent leur apprentissage.
Elles font tout ce qu’il faut pour obtenir de bons résultats, mais se trouvent complètement bloquées soit au moment d’apprendre, soit au moment de restituer ce qu’elles ont appris.
Nous pouvons désirer ardemment réussir, de façon consciente, et avoir des représentations du monde qui entrent en conflit avec ce désir de réussite.
Des idées telles que:
“on réussit toujours au dépend de quelqu’un d’autre”,
“les puissants sont ceux qui causent la souffrance dans le monde”,
“on est plus en sécurité si on reste caché”,
“entrer dans l’âge adulte correspond à entrer dans un monde de requin” (pour les étudiants)
ou “prendre son indépendance, c’est prendre le risque d’échouer dans la vie”
… peuvent bloquer votre réussite.
La PrestoLecture n’est pas une thérapie.
Elle ne vous permettra pas de régler ces conflits s’ils sont trop présents.
Elle est cependant un bel outil pour informer votre inconscient de vos objectifs, et éviter qu’il bloque votre apprentissage.
J’ai moi-même vécu ces blocages, notamment lorsque j’étudiais des matières comme la gestion et la comptabilité… et je souhaite, dans la mesure du possible, permettre à d’autre de s’en affranchir.
Avant d’apprendre à prestolire, je percevais mon inconscient comme un “saboteur”, qui créait d’inconfortables conflits internes.
Certains étaient inconfortables au quotidien (alors que je souhaitais me montrer sous mon meilleur jour face à un garçon séduisant, je devenais nerveuse, un peu stupide, et carrément maladroite.
D’autres semblaient carrément vouloir fair de ma vie un enfer (j’avais parfois tellement peur que ma réussite puisse insécuriser d’autres personnes que dans des situations où je connaissais quelqu’un qui risquait d’être malheureux “à cause de moi” si je réussissais, je finissais toujours, en dépit de ma volonté et de mes efforts conscients, à échouer à quelques mètres du but).
La photolecture m’a d’abord apporté une meilleure vitesse et une bien meilleure qualité de lecture.
A force de l’utiliser, j’ai fini par changer de point de vue sur mon inconscient: j’ai compris qu’il pouvait être un allié puissant dans ma réussite.
J’ai poursuivi la “communication” qu’on instaure avec l’inconscient en photolecture en dehors de mes activités de lecture.
C’est cette alliance, cette communication avec l’inconscient que je souhaite également transmettre.
Le temps est venu pour l’humanité d’apprendre à vivre avec ces parties de nous-même que l’on ne voit pas, que l’on ne peut pas toucher… et qui font pourtant partie intégrante de qui nous sommes.